vendredi 13 janvier 2012

LES DANGERS DE L'IRRADIATION DES ALIMENTS...

IONISATION ou IRRADIATION DES ALIMENTS

Qu’est-ce que l’irradiation des aliments ?
L’irradiation des aliments (officiellement appelée « ionisation ») est un procédé utilisé pour décontaminer les denrées, ralentir le mûrissement.
L’irradiation des aliments a été inventée au milieu des années 40 par des scientifiques français et mise en application dès la fin de la deuxième guerre et est aujourd’hui autorisée dans une soixantaine de pays.

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.
Elle permet ainsi un traitement de long terme de très nombreux produits, des déplacements sur longue distance et des stockages de longue durée. Ces avantages, ainsi que son efficacité multi-usages, en font une technologie particulièrement appropriée pour l’économie « moderne » mondialisée et pour le développement des échanges internationaux.

Quelles radiations servent pour les aliments ?
L’irradiation des aliments ou ionisation se fait avec des radiations ionisantes, soit par électrons projetés à une vitesse proche de celle de la lumière, soit par rayons gamma (issu de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137),

L’irradiation des aliments est-elle sûre ?
Les partisans de l’irradiation des aliments la présente comme une solution-miracle contre les maladies d’origine alimentaire ( salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Mais, de nombreuses études scientifiques montrent que les méfaits de l’irradiation sur la santé sont bien pires que ses bénéfices :

- L’irradiation détruit une grande partie des vitamines et des nutriments présents dans les aliments ; il ne faut pas confondre aliments « contaminés » et aliments « irradiés ». Quand on parle de « contamination radioactive » ou de « pollution radioactive », cela signifie que des particules radioactives (et plus précisément des atomes radioactifs) sont présents dans l’aliment.

- Certaines bactéries sont très utiles puisqu’elles agissent sur l’apparence des aliments (pourrissement, odeur) et permettent ainsi aux consommateurs de repérer les aliments douteux. Les aliments irradiés paraissent sains, mais ne le sont pas toujours ;

- L’irradiation est très souvent utilisée comme substitut à de bonnes pratiques sanitaires ou pour « recycler » des produits atteignant leur date de péremption ;

- Les animaux de laboratoire nourris d’aliments irradiés sur de longues périodes souffrent de nombreuses maladies génétiques, de problèmes de reproduction, de déformations et de mortalité précoce.

- Selon une étude récente menée par des scientifiques allemands et français (Delincée, H. and Pool-Zobel, B. « Genotoxic properties of 2-dodecyclobutanone, a compound formed on irradiation of food containing fat » Radiation Physics and Chemistry, 52:39-42, 1998), une substance particulière créée par l’irradiation dans les aliments, l’alkylcyclobutanone, pourrait être facteur de cancer.

L’irradiation des aliments est risquée
Selon Véronique Gallais,présidente d’Action Consommation,pour le Collectif français contre l’irradiation des aliments...

« Si l’irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, elle provoque une perte de vitamines et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse dus à la prolifération de radicaux libres et de molécules nouvelles au sein de l’aliment irradié. Par ailleurs, l’irradiation peut être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production Ou encore, l’équilibre microbiologique de l’aliment irradié étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement et proliférer puisque leur « concurrents » ont été éliminés.

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires, et les dommages liés aux modes de production et de distribution industriels : pollutions et production de gaz à effet de serre (y compris par la multiplication des transports longs liés à la délocalisation des productions), atteinte à la biodiversité par la spécialisation des productions, destruction de milieux naturels.

Enfin, ce mode d’organisation de la production et des échanges agroalimentaires implique des risques socio-économiques. La délocalisation des productions vers des pays à bas coûts sont une menace pour l’emploi et l’économie locale. La spécialisation des productions dans l’agriculture conduit à l’extension de monocultures et de la culture intensive, qui, au-delà des conséquences environnementales qu’elles induisent, compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète. La concentration des entreprises renforce les multinationales, dont le pouvoir économique, financier et politique constitue une menace réelle pour la démocratie. »

L’irradiation, en allongeant la durée de conservation des aliments, risque d’accentuer la délocalisation des productions agricoles. Or ce phénomène met en péril la dynamique de nos économies locales et détruit l’environnement




LES DANGERS DE L’IRRADIATION...

1. Des dangers pour la santé humaine liés à l’ingestion d’aliments ionisés:
L’ionisation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu’ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimiques dont certains sont cancérigènes. Ainsi l’ionisation peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du béta-carotène du jus d’orange 1 ! De plus l’ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des composés appelés cyclobutanones, qu’on ne trouve pas dans les aliments non ionisés. De très nombreuses études scientifiques ont montré que ces cyclobutanones sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat. Chez l’homme on sait qu’ils créent des dommages aux cellules et au gènes ( cytotoxicité et génotoxicité). D’autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène… apparaissent lors de l’ionisation d’aliments (ces composés sont connus pour favoriser l’apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires,….).

2. L’irradiation des aliments n’est pas une réponse à de mauvaises pratiques en matière d’hygiène:
L’ionisation peut masquer de mauvaises pratiques en matière d’hygiène et n’incite donc pas à accroître la propreté dans ce domaine.

3. Les dangers pour les travailleurs et la sécurité globale:
L’utilisation de l’ionisation des aliments n’est pas sans dangers pour les travailleurs de ce secteur. En effet de nombreuses contaminations radioactives on déjà eu lieu aux USA, en Italie, en Norvège, en Australie…

4. Le danger d’un commerce de plus en plus planétaire des denrées alimentaires:
L’ionisation des aliments représente un moyen d’accroître la durée de vie des denrées alimentaires. Avec cette technique, les multinationales de l’agro-alimentaire pourront développer les productions d’aliments dans les pays en voie de développement ou les coûts de production sont très bas. Ces produits pourront ensuite être revendus sur nos marchés, déstabilisant encore d’avantage les marchés en concurrençant les productions locales.




LES DANGERS DE L'IRRADIATION DES ALIMENTS SONT RÉELS...

L’irradiation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu’ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimique dont certains sont cancérigènes. Malheureusement, voici une raison de plus pour manger naturel (Bio).

Ainsi l’ionisation peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du Béta carotène du jus d’ Orange ! De plus l’ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des composés appelés cyclobutanones, qui sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat.

Chez l’homme on sait qu’il créent des dommages aux cellules et au gènes (cytotoxicité et géno-toxicité). D’autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène … apparaissent lors de l’ionisation d’aliments (ces composés sont connus pour favoriser l’apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires, …).

Une riche littérature scientifique illustre ces dangers. Pourtant la Commission européenne ou l’OMS (organisation mondiale de la santé) refusent toujours de prendre en compte ces dangers mis en évidence par ces études scientifiques. Pourquoi ?

La commission européenne refuse les conclusions d’une étude officielle européenne qui montre les dangers potentiels des aliments ionisés !

Une étude réalisée en 2002, par une équipe de chercheurs franco-allemands dans le cadre d’un programme de recherche interrégional de l’Union européenne a montré que certains cyclobutanones (les 2 alkylcyclobutanones) sont cytotoxiques, génotoxiques et sont despromoteurs du cancer du colon chez le rat.

Le comité scientifique de la nourriture (SCF : du service santé et protection du consommateur de la Commission européenne) a refusé ces conclusions alors que l’équipe de chercheurs qui a réalisé cette étude compte parmi les meilleurs spécialistes mondiaux !

Les chercheurs n’ont d’ailleurs pas tardé à réagir pour maintenir leurs conclusions...

Des lobbies puissants et bien organisés
En réalité, plusieurs réseaux internationaux agissent directement pour l'irradiation des aliments. Le programme mixte FAO/AIEA des techniques nucléaires dans l'alimentation, qui promeut l'utilisation de technologies nucléaires pour réduire les risques liés à la nourriture, encourage l'irradiation lorsqu'elle est utilisée pour des raisons sanitaires ou phytosanitaires. Il a pour double objectif de favoriser l'harmonisation des réglementations à l'échelle internationale et de garantir de bonnes pratiques analytiques et en laboratoire.

Pour ce faire, il encourage les Etats membres des Nations unies à s'aligner sur les règles sanitaires et phytosanitaires développées par l'OMC dans le cadre du Codex Alimentarius, tandis que l'AIEA soutient l'implantation de l'irradiation dans les pays en développement, en particulier en Chine et en Inde. L'Association internationale pour l'irradiation (International Irradiation Association, IIA), compte l'AIEA parmi ses membres ainsi que des entreprises spécialisées dans l'irradiation, des consultants, des fournisseurs de matériel tels que des dosimètres et des utilisateurs d'irradiation. Entièrement financée par l'industrie, elle a pour objet de promouvoir toutes les techniques d'ionisation et travaille à l'harmonisation des réglementations, à la défense de l'industrie face aux avancées de régulation, et au développement de nouvelles applications. Le Conseil international pour l'irradiation des aliments(ICFI), créé sous la forme d'une organisation non gouvernementale internationale, offre un espace international dédié à la promotion et la dissémination d'informations "scientifiques" liées à l'irradiation des aliments. L'objectif de cette organisation est de faire en sorte que les consommateurs, les décideurs politiques et les médias acceptent l'irradiation comme mode de conservation des aliments.

Une prolifération insidieuse
Une soixantaine de pays autorise l'irradiation des aliments et plus de trente pays la pratiquent, dont certains pour une vaste palette de produits : en Afrique du Sud, au Brésil et au Ghana, pratiquement tous les aliments peuvent être irradiés ; en Chine, en Croatie, en Russie, en Turquie, en Ukraine, aux USA, une grande variété d'aliments, dont certaines viandes, peut être irradiée ; à Cuba, en Inde, au Mexique, de nombreuses viandes peuvent être irradiées. Un cas particulier, celui du jus d'orange, produit de grande consommation : il est difficile, voire impossible, de détecter si un jus de fruit a été traité par ionisation. Or, de nombreux jus d'orange présents sur le marché européen sont reconstitués à partir de concentrés et de pulpes provenant du Brésil.

Tandis que les volumes d'aliments irradiés localement dans les pays occidentaux semblent stagner, voire diminuer, l'on assiste à une véritable explosion du nombre d'installations d'irradiation dans les pays à fort développement.

En Chine, le nombre d'installations en capacité d'irradier des aliments est passé de 7 unités en 2003 à 50 en 2006. Plus de 140 000 tonnes d'aliments ont été irradiés en Chine en 2005 (contre 80 000 tonnes en 2003). Sachant que ces aliments sont souvent destinés à l'exportation, comment les contrôler quand leur étiquetage est loin d'être systématique ? Il n'est pas étonnant d'observer qu'en Europe les produits alimentaires irradiés non étiquetés proviennent fréquemment d'Asie.

Dans de nombreux autres pays émergents, on constate les mêmes tendances. En Inde, 25 installations d'irradiation sont prévues jusqu'à 2012. D'ici 2008, le Mexique se dotera de la plus grande installation d'irradiation du monde lui permettant ainsi d'exporter ses goyaves, pamplemousses, caramboles, mandarines et mangues. L'irradiation des aliments représente pour certains pays une fantastique opportunité d'écouler leurs productions sur le marché international, autrefois plus difficilement accessible à cause de la durée du transport et des contraintes correspondantes en termes de conservation des produits.

Les États-Unis encouragent cette dynamique en signant avec certains pays un type d'accord spécifique qui encadre et régule les échanges de produits alimentaires irradiés, le Framework Equivalency Work Plan (FEWP). Il se fait généralement avec un pays en développement et s'accompagne souvent de dispositifs d'aides financières ou technologiques permettant la construction d'installations d'irradiation.

Des conventions bilatérales étaient récemment en cours de finalisation avec la Thaïlande, l'Inde et le Mexique. A travers ces accords, les Etats-Unis disposent d'un outil puissant leur permettant de promouvoir l'utilisation de l'irradiation à travers le monde et indirectement sur leur propre marché intérieur, en dépit d'une opinion publique méfiante. L'irradiation des aliments obéit à la logique dominante des institutions financières internationales (OMC, Banque Mondiale, FMI) qui considère comme une loi naturelle que le développement des pays du Sud passe par l'exportation massive de leurs matières premières et productions agricoles.

En construisant des unités d'irradiation, ces pays peuvent espérer écouler leurs surplus et développer leurs productions pour l'export (souvent avec des soutiens institutionnels) sur le marché international puisque l'ionisation permet (du moins en apparence) une meilleure conservation des aliments à exporter.

Une pensée unique, des politiques hygiénistes et mondialistes
En réalité, l'irradiation des aliments accompagne idéalement le développement de l'industrie agroalimentaire mondialisée, pour le plus grand intérêt des grandes firmes internationales du secteur.

Comme dans d’autres dossiers, le "Codex Alimentarius" (dont les avis sont ici influencés par l'AIEA) fait office de norme internationale chapeau, hygiéniste, mondialiste et produisant une "pensée unique" calibrée sur les impératifs des productions industrielles et des échanges de longue distance, à laquelle se rallient les réglementations régionales et locales.

L'Union européenne, qui s'est pourtant dotée de directives restrictives, ne se donne pas les moyens d'en assurer le respect : une réglementation alibi qui ne permet pas d'endiguer la commercialisation d'aliments irradiés.

La France, en élargissant la "liste courte" de l'Union européenne et en ne contrôlant pas (ou si peu) les produits irradiés commercialisés, contribue à la prolifération de cette technologie dans le monde, et dans l'assiette des Français. Parmi les candidats à l'élection présidentielle en 2007, seuls Ségolène Royal, Dominique Voynet et José Bové avaient argumenté leur sensibilité à ce dossier, tandis que Nicolas Sarkozy n'avait pas répondu à l'interpellation du Collectif français contre l'irradiation des aliments. Ce dernier demande des contrôles significatifs à l'importation et à la commercialisation, la modification de la liste des aliments autorisés en France (de telle façon que celle-ci se conforme à la liste de l'Union européenne), la mise en place d'une commission d'enquête sur les fraudes, l'attribution de fonds pour une recherche, indépendante et transparente, sur les effets pour la santé de la consommation d'aliments irradiés. Au-delà, la France devrait peser dans les instances internationales pour obtenir la prise en compte des enjeux transversaux liés à l'usage de cette technologie, et non prioritairement les critères de compétitivité des entreprises et l'objectif d'harmonisation des marchés au niveau mondial.

Donc voilà il faut que nous consommions local. En plus mangeons des fruits et des légumes de saisons au lieu de ceux qu’on importe qui coûtent chers et sont sans goût en plus des conditions dans lesquelles des êtres humains travaillent et sont aussi exploités.

Conclusion :
l’irradiation ne se contente pas d’exterminer les germes indésirables, par la même occasion ils détruisent instantanément toutes les vitamines, les antioxydants, les enzymes, les acides gras, et dans le cas des viandes rouges, certains composants naturellement présents dans les fibres deviennent cancérigènes.

D’ailleurs, le professeur Samuel Epstein, de la faculté de médecine de l’Illinois, expert auprès de la FDA (Food and Drugs Administration), a bien tenté de soulever le problème, il n’a pas été entendu.

C’est que les industriels ne s’intéressent pas à la prévention, ils préfèrent souvent (pour un moindre prix) payer les pots cassés...

• Pourquoi l’irradiation à tout prix ?
Pour masquer de mauvaises pratiques en matière d’hygiène et ne pas inciter à accroître la propreté dans ce domaine

L’OMC (Organisation mondiale du commerce), presse l’Union européenne d’assouplir sa législation sur l’ionisation des aliments : elle y voit là un moyen d’accroître encore un peu plus la mondialisation des échanges commerciaux de nourriture au détriment des systèmes de production locaux durables et de petite taille, destabilisant encore davantage les marchés en concurrencant les productions locales avec des productions d’aliments en provenance des pays en voie de développement où les coûts de production sont très bas. Ces produits dénutris et sans fraîcheur pourront ensuite être revendus sur nos marchés !

• Étiquetage absent! pourquoi?
Pourquoi n’est-il pas systématiquement indiqué que certains aliments sont irradiés ?

Pourquoi le logo RADURA , qui est censé figuré sur l’étiquetage n’apparaît-il jamais?
La commission de l’environnement du Parlement européen avait indiquée que l’irradiation (ionisation) devrait être indiquée sur l’emballage des aliments concernés. Obligatoire depuis un décret du 8 mai 1970, ainsi que toutes les importations irradier depuis le 20 septembre 2000. En 1999, vingt mille tonnes de produits divers ont été irradiés. Lesquels exactement ? Bien malin qui pourrait le dire. Les entreprises et les distributeurs qui jouent la transparence ne sont pas nombreux.

Peu de compagnies osent mettre des étiquettes mentionnant que leur produit a été traité par rayonnements ionisants. Par exemple, les producteurs de fromages frais distribués sur le marché français, refusent d'alarmer les consommateurs avec des étiquettes qui expliqueraient que leurs produits sont irradiés. Ou encore... Il faut savoir que toutes les viandes de volailles séparées mécaniquement sont irradiées, et de fait, on peut donc en conclure que la plupart des plats cuisinés à base de poulet sont irradiés.

Liste des aliments pouvant être irradiés :
* les herbes aromatiques surgelées
* les épices
* les oignons
* l’ail
* l’échalote
* les flocons et germes de céréales
* les céréales
* le riz
* la farine de riz
* les produits laitiers transformés
* les légumes et fruits secs
* la gomme arabique
* la viande de volaille
* les viandes de volaille séparées mécaniquement
* les cuisses de grenouille congelées
* les repas congelés
* les légumes et fruits secs
* les noix
* les produits laitiers transformés
* les saucissons
* les crevettes congelées décortiquées ou étêtées
* le blanc d’œuf,
* la caséine et les caséinates.

• Travailleurs et sécurité globale en danger
L’utilisation de l’ionisation des aliments n’est pas sans danger pour les travailleurs de ce secteur. De très nombreuses contaminations radioactives ont déjà eu lieu aux USA, en Italie, en Norvège, en Australie, …

De plus les sources de radioactivité sont très convoitées par des réseaux organisés afin d’être revendue sur le marché noir (chaque année, dans le monde se sont plus de 200 sources de radioactivités qui sont volées!).

Attention au terrorisme !!!

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